Lors de la manifestation du 1er-Mai  Paris.
Live terminé

1er-Mai : 116 500 manifestants en France selon l’intérieur, plus de 210 000 selon la CGT ; des heurts à Paris

A l’occasion de la Journée internationale des travailleurs, les syndicats souhaitaient notamment se faire entendre sur l’âge légal de départ à la retraite et la hausse des salaires. Des milliers de manifestants ont défilé dans toute la France.

Le 01/05 à 20:27

Ce direct est désormais terminé

Merci à tous de l’avoir consulté durant cette journée de manifestations. Un récit des mobilisations du 1er-Mai sera publié prochainement, mais un point sur les négociations en vue d’un accord à gauche est déjà disponible. Bonne soirée à tous !

Le 01/05 à 19:45 Urgent

116 500 personnes ont défilé dans toute la France, dont 24 000 à Paris, selon le ministère de l’intérieur

Un total de 116 500 personnes ont manifesté dimanche en France pour le 1er-Mai, dont 24 000 à Paris, où le cortège a été émaillé de violences, a annoncé le ministère de l’intérieur, la CGT dénombrant, elle, plus de 210 000 manifestants sur l’ensemble du territoire.

Le ministère a dénombré 278 manifestations dans le pays et huit policiers et gendarmes blessés. Le parquet de Paris a indiqué, selon un premier bilan, que 50 personnes avaient été placées en garde à vue à la suite des violences ayant eu lieu dans la capitale.

Le 01/05 à 19:29

Gérald Darmanin annonce 45 interpellations à l’occasion de la manifestation parisienne du 1er-Mai

Il n’y a « pas eu de défaillances » des autorités dans le maintien de l’ordre pendant le rassemblement syndical du 1er-Mai à Paris, a affirmé M. Darmanin lors d’un point de presse à la Préfecture de police. Le ministre de l’intérieur a fait état de 45 interpellations peu avant 19 heures, et de huit blessés parmi les forces de l’ordre.

Parmi les personnes interpellées figure une femme suspectée d’avoir assené deux coups avec sa main sur le casque d’un pompier alors que celui-ci éteignait un incendie, a-t-il précisé. Le soldat du feu n’a pas été blessé. Cette agression, largement relayée sur les réseaux sociaux, a suscité une vive indignation.

Le 01/05 à 19:26 Sur le terrain

Fin de manifestation place de la Nation, à Paris

Selon nos reporters sur place, les derniers manifestants quittent la place de la Nation, terminus du cortège parisien du 1er-Mai, sous la surveillance de la police.

Le 01/05 à 19:19 Urgent

La CGT annonce « plus de 210 000 manifestants » en France

Le 01/05 à 19:14 Sur le terrain

« Les femmes seront les premières concernées par la réforme des retraites », soulignent deux militantes

Si les militantes féministes n’avaient pas de cortège attitré dans le défilé du 1er-Mai, plusieurs d’entre elles répondaient à l’appel pour dénoncer « une dérégulation du marché du travail sous Emmanuel Macron qui a touché en premier lieu les femmes ».

Alors qu’Emmanuel Macron a fait du recul de l’âge légal de départ à 64 puis 65 ans un point cardinal de son programme, Pauline Baron, militante chez Nous toutes, évoque « un gros temps syndical » auquel les féministes ont « voulu laisser la place et s’unir à leurs combats ». La trentenaire rappelle que « les femmes seront les premières concernées par cette réforme », évoquant leur plus grande précarité, bas salaires et temps partiels en tête.

Quant à Fatima Benomar, elle évoque plus largement un quinquennat marqué par « une explosion des inégalités ». Après une campagne « sans débat autour des questions féministes » et « un deuxième tour vampirisé par le fait de faire barrage », ce 1er-Mai constitue « l’occasion de se remobiliser » : « Il y a une envie de démonstration de force. »

« On ne commence pas le quinquennat en se disant qu’on laisse une chance à Emmanuel Macron, prévient Fatima Benomar. On veut commencer en étant dans le combat. »

Selon les deux militantes, la Marche pour le futur du 9 avril, réunissant des collectifs féministes, écologistes et contre les violences policières, « a posé les bases de notre stratégie future ».

« Pour montrer à Emmanuel Macron que nous allons continuer à lutter contre sa politique, nous cherchons à nous rassembler autour d’un mouvement unitaire », assure Pauline Baron.

Cécile Bouanchaud
Le 01/05 à 19:11

Et dans le monde ?

Il n’y a pas qu’en France qu’ont eu lieu des mobilisations pour le 1er-Mai, Journée internationale des travailleurs.

A Madrid, ils étaient environ 10 000 manifestants, selon un porte-parole du gouvernement, à défiler pour réclamer des hausses de salaires et des mesures face à l’inflation. D’autres manifestations ont eu lieu à travers l’Espagne et en Andorre, où la hausse du coût de la vie, du prix des logements et la perte du pouvoir d’achat ont été au centre des revendications.

Des milliers de personnes ont manifesté à Athènes, en Grèce, réclamant davantage de mesures de soutien du pouvoir d’achat, face à l’inflation qui a atteint 9,4 % en avril. Si le salaire minimum a été augmenté ce 1er mai de 50 euros, à 713 euros mensuels, cette mesure est jugée insuffisante par les syndicats, qui réclament 825 euros.

En Italie, les principales confédérations syndicales avaient appelé à un rassemblement à Assise (centre), sur le thème « au travail pour la paix » dans le contexte de l’invasion de l’Ukraine par la Russie. « Nous devons absolument œuvrer à mettre fin à cette guerre absurde, voulue par Poutine », a déclaré le leader du syndicat CGIL, Maurizio Landini, devant plusieurs centaines de militants.

Plusieurs milliers de personnes ont aussi défilé à Londres, à l’appel de syndicats et d’organisations environnementales ou sociétales, comme Black Lives Matter.

Au Sri Lanka, l’opposition a demandé à l’unisson la démission du président Gotabaya Rajapaksa. « Go home Gota », ont scandé des dizaines de milliers de militants à Colombo. Des mois de pannes d’électricité, une inflation galopante et de graves pénuries de nourriture, de carburant et de produits pharmaceutiques ont suscité de nombreuses manifestations depuis mi-mars.

Le président de l’Afrique du Sud, Cyril Ramaphosa, a quitté les célébrations après que des mineurs en colère ont envahi la scène sur laquelle il devait s’exprimer au stade Royal Bafokeng de Rustenberg (nord). Les protestataires, qui scandaient « Cyril doit partir », exigeaient une augmentation des salaires.

Le 01/05 à 18:57 Sur le terrain

Affrontements à Paris

Des manifestants se rassemblent près d'un feu sur la route lors d'affrontements avec la police en marge du rassemblement annuel du 1er-Mai, marquant la Journée internationale des travailleurs, à Paris, le 1er mai 2022.
Un manifestant affronte des policiers et lance un projectile lors de la manifestation annuelle du 1er-Mai à Paris.
Un incendie allumé lors d’affrontements avec la police en marge du rassemblement annuel du 1er-Mai, à Paris, le 1er mai 2022.

Le 01/05 à 18:52 Sur le terrain

Le NPA toujours favorable à des « candidatures d’alliance » avec L’Union populaire aux législatives

Le Nouveau Parti anticapitaliste conserve l’espoir de « candidatures d’alliance » avec L’Union populaire de Jean-Luc Mélenchon en vue des élections législatives. C’est Julien Salingue, membre du NPA chargé des négociations, qui l’affirme à l’issue de la manifestation du 1er-Mai à Paris.

« On a eu une discussion jeudi et rien n’a changé depuis le communiqué », affirme-t-il. Dans ce dernier, la formation politique d’extrême gauche assurait ne pas croire que « le Parti socialiste, qui a été le principal agent du social-libéralisme depuis quarante ans dans ce pays, puisse devenir du jour au lendemain une force de rupture avec les politiques libérales et antisociales ».

M. Salingue assure que la reprise de la discussion bilatérale entre le PS et La France insoumise ne modifie pas l’attitude de son propre mouvement. « A ce stade, les discussions continuent, cela ne nous perturbe pas. Les membres de L’Union populaire discutent avec qui ils veulent, c’est leur préoccupation. Nous, on discute avec eux », fait-il savoir, sans s’avancer sur la conclusion d’un accord dans les heures à venir.

Charles-Edouard Ama Koffi
Le 01/05 à 18:45

Journée internationale des travailleurs à travers le monde

Des manifestants tiennent des fusées éclairantes et des pancartes lors d'une manifestation marquant la Journée internationale des travailleurs à Pristina, au Kosovo, le 1er mai 2022.
Des manifestants brandissent des drapeaux et crient des slogans lors de la manifestation annuelle du 1er-Mai  marquant la Journée internationale des travailleurs, dans le quartier de Maltepe, à Istanbul, en Turquie, le 1er mai 2022.
Rassemblement place Saint-Jean-du-Latran à l’occasion d'un concert gratuit organisé par les principaux syndicats italiens à l'occasion du 1er-Mai, à Rome, dimanche 1er mai 2022.
Des membres et des partisans du Parti communiste russe brandissent des drapeaux lors de la manifestation annuelle du 1er-Mai marquant la Journée internationale des travailleurs, à Moscou, le 1er mai 2022.
Le 01/05 à 18:44

Heurts à Rennes et Nantes entre des manifestants d’ultragauche et les forces de l’ordre

A Rennes, la manifestation du 1er-Mai organisée dans la matinée (1 650 personnes selon la préfecture) s’est déroulée dans le calme, mais plusieurs centaines de militants d’ultragauche ont joué pendant deux heures au chat et à la souris avec les forces de l’ordre, qui ont fait usage de lacrymogènes et d’un canon à eau. Des feux de poubelles ont été constatés.

Dégradations aussi à Nantes, où les forces de l’ordre sont intervenues pour disperser des militants d’ultragauche, selon la préfecture.

Le 01/05 à 18:43

A la CFDT, « on cherche des mobilisations qui soient plus symboliques que de masse »

La CFDT n’est pas dans la manifestation parisienne du 1er-Mai. Le premier syndicat de France fait sans surprise bande à part, en organisant un « 1er-Mai engagé pour le climat » et pour des augmentations de salaire. « On cherche des mobilisations qui soient plus symboliques que de masse », a déclaré à la presse son secrétaire généra,l Laurent Berger, lors d’un rassemblement « revendicatif et festif » organisé sur les rails désaffectés de la « petite ceinture », dans le 18arrondissement de Paris.

Le 01/05 à 18:41 Sur le terrain

Travailleuse du sexe, PetitexSirène réclame « les mêmes droits que tout le monde, la retraite et le chômage »

« Pas de 1er-Mai sans les travailleuses du sexe. » Celle qui se fait appeler « PetitexSirène » a parcouru tout le cortège pour montrer sa pancarte aux différents syndicats et partis politiques. « Les travailleuses du sexe participent à la vie de la société, nous votons aussi, ce serait bien qu’on nous écoute », estime la jeune femme de 38 ans, qui déplore l’indigence des annonces politiques concernant sa profession.

« Durant la campagne, seul Philippe Poutou [le candidat du Nouveau Parti anticapitaliste] a réclamé l’abrogation de la loi de pénalisation des clients de prostituées, que nous réclamons depuis six ans », rappelle-t-elle. « D’un point de vue sociétal, le regard change, mais d’un point de vue politique c’est l’inertie », poursuit PetitexSirène, alors que la Belgique vient de décriminaliser le métier de travailleuse de sexe.

En cette Journée internationale des droits du travail, elle réclame « les mêmes droits que tout le monde : le droit à la retraite et au chômage ».

« On veut juste dire qu’on existe et que nous avons le droit à une place dans la société », poursuit-elle, avant de regretter les discours qui présentent les prostituées comme des victimes : « Un tiers des travailleuses du sexe le font de leur plein gré. »

Cécile Bouanchaud
Le 01/05 à 18:29 Sur le terrain

Deux sympathisants LFI à Paris : « Même la police n’a pas les moyens de remplir ses missions »

Alors que le cortège parisien arrive sur la place de la Nation, Marie, 26 ans, étudiante en urbanisme, et Jérémy, 25 ans, informaticien au chômage depuis peu, se tiennent en retrait. Ils sont nouveaux parisiens et participent à leur premier 1er-Mai. Ils reconnaissent qu’ils sont un peu légèrement équipés pour assister aux heurts sur la place entre les forces de l’ordre et certains manifestants.

Ils ont voté LFI au premier tour de la présidentielle, et se sont abstenus au second. Ils ne s’attendaient pas à tant d’incidents et de dégradations au cours de cette manifestation. Ils les imaginaient plus tard, lors du vote des lois dans le domaine social.

Pour l’avenir, « on a des attentes – environnement, fraude fiscale, corruption, retraite, service public avec plus de moyens », disent-ils. Et d’ajouter : « Même pour la police, qui n’a pas les moyens de remplir ses missions. »

Jérémy est prêt à redescendre dans la rue, Marie en est moins certaine. Au sujet des négociations en cours autour de La France insoumise pour le « troisième tour », comme Jean-Luc Mélenchon a qualifié l’échéance des législatives, ils admettent qu’ils ne sont pas certains que « la gauche soit majoritaire » à l’issue du scrutin.

Pierre Bouvier
Le 01/05 à 18:22 Vos questions
Curieux : "cortège dense" en titre et on apprend plus bas qu’il est clairsemé ???
Girondin

Bonjour Girondin,

Selon nos journalistes sur place, la manifestation parisienne s’est en effet annoncée d’envergure modeste quand elle s’est élancée de la place de la République, vers 14 h 30, mais elle s’est largement étoffée au cours de sa progression vers la place de la Nation, son terminus. Les estimations du nombre de participants devraient commencer à nous parvenir en fin d’après-midi ou en début de soirée.

Le 01/05 à 18:13 Vos questions
D'où vient cette date du 1er mai pour la journée internationale des droits des travailleurs ?
1er mai

Bonjour,

Le 1er-Mai est devenu la Journée internationale des travailleurs après que des ouvriers américains ont massivement manifesté, le 1er mai 1886, pour obtenir la journée de huit heures. Les syndicats portaient cette revendication depuis très exactement deux ans.

Le premier jour du mois de mai avait été choisi car il correspondait au début de l’année comptable des entreprises. En France, le 1er mai est férié et chômé depuis 1948.

Le 01/05 à 18:00

Les pompiers de Paris dénoncent la « sauvagerie » d’un manifestant cherchant à les empêcher d’éteindre un feu

Les pompiers de Paris ont commenté, sur Twitter, des images de BFM-TV sur lesquelles on voit un manifestant chercher brutalement à empêcher un soldat du feu de faire son travail dans une rue de la capitale.

« Honte à la sauvagerie », écrit la brigade de sapeurs-pompiers de Paris, jugeant « incompréhensible cette nouvelle agression ».

Le 01/05 à 17:59

Gérald Darmanin dénonce les « casseurs » qui « viennent perturber les manifestations » à Paris

Gérald Darmanin a dénoncé, sur Twitter, les « casseurs » qui « viennent perturber les manifestations du 1er-Mai notamment à Paris, en commettant des violences inacceptables ». « Je suis cela avec attention », ajoute le ministre de l’intérieur, assurant son « plein soutien aux policiers et gendarmes mobilisés, garants de la liberté de manifester et de l’ordre public ».

Le 01/05 à 17:46 Sur le terrain

Le cortège du 1er-Mai parisien arrive place de la Nation

Le défilé parisien du 1er-Mai, désormais plus dense qu’au démarrage, arrive tranquillement, au son d’une batucada, vers la place de la Nation, qui se trouvait quelques minutes plus tôt sous des volutes de gaz lacrymogènes.

Le 01/05 à 17:45 Sur le terrain

Dans le défilé parisien du 1er-Mai : « Hollande ou Valls n’ont pas tenu les valeurs de la gauche »

Ils sont quelques dizaines à manifester sous la bannière du Parti socialiste, quelques mètres devant le cortège de L’Union populaire, le rassemblement mélenchoniste, bien plus nombreux et bruyant. Pour autant, plusieurs militants du parti à la rose espèrent bientôt pouvoir manifester aux côtés de ces derniers si une alliance est trouvée entre les deux formations en vue des élections législatives.

« Je pense que les désaccords ne sont pas insurmontables. Pour moi, l’union va se faire », estime Arnaud (un prénom d’emprunt), militant socialiste de 22 ans. Pour lui, cette union ne signifie pas la disparition du parti, comme l’a laissé entendre François Hollande cette semaine. « Il y a bien longtemps que les militants actuels du PS n’attendent plus rien de François Hollande, il ne représente plus rien », tranche-t-il. Et le parti ? « Ce n’est pas parce qu’on a fait 1,75 % au premier tour de la présidentielle qu’on ne représente plus rien. On a encore beaucoup d’élus locaux. »

A quelques mètres de lui, Gaël Chabert, délégué de la 4e circonscription des Hauts-de-Seine, est favorable à un accord avec le mouvement de Jean-Luc Mélenchon. « Je fais partie de ceux qui pensent qu’on pourra dépasser nos différences. L’enjeu est celui du pouvoir d’achat mais aussi des retraites et de l’assurance-chômage », égrène-t-il.

Pour autant, il souhaite que sa famille politique ne se désagrège pas : « Il ne faut pas une union coûte que coûte car le PS a déjà gouverné, il a son histoire, ses valeurs. »

De son côté, Brigitte Sassou-Messan, déléguée de la 7e circonscription des Hauts-de-Seine s’estime « gênée » par la position défendue par François Hollande. « Lui comme certains dirigeants du PS, on ne les a pas vus dans les manifs. Cette union, je la souhaite depuis longtemps. Je veux que le PS redevienne comme moi, et parle aux personnes issues des milieux modestes, affirme cette femme de 53 ans issue d’une famille de huit enfants. J’ai honte pour Hollande ou Manuel Valls, qui n’ont pas tenu les valeurs de la gauche, mais je suis très fière de moi. »

Brigitte Sassou-Messan.
Charles-Edouard Ama Koffi

Le contexte

Live animé par Julien Lemaignen

Image de couverture : Lors de la manifestation du 1er-Mai Paris. JULIEN DE ROSA / AFP
  • Une semaine après la réélection d’Emmanuel Macron, plusieurs syndicats occupent la rue pour lui adresser des messages centrés sur le pouvoir d’achat et les retraites. Cet appel à la mobilisation à l’occasion du 1er-Mai, Journée internationale des travailleurs, émane de quatre organisations de salariés : la CGT, la FSU, Solidaires et – fait très inhabituel – l’UNSA.
  • Dans la coalition syndicale s’intègrent des mouvements étudiants et lycéens (UNEF, FIDL, etc.). Plus de cent initiatives sont annoncées à travers le territoire. A Paris, les manifestants s’élanceront de la place de la République pour aller vers celle de la Nation.
  • Il n’est pas dit que les partis de gauche, engagés depuis plusieurs jours dans de difficiles tractations pour présenter un front uni aux législatives, défilent ensemble.
  • Le Monde suit les mobilisations dans ce direct, avec ses journalistes présents sur le terrain dans la capitale, à Lyon, à Toulouse, à Bordeaux et à Strasbourg.

Nos articles pour approfondir :

Lecture du Monde en cours sur un autre appareil.

Vous pouvez lire Le Monde sur un seul appareil à la fois

Ce message s’affichera sur l’autre appareil.

  • Parce qu’une autre personne (ou vous) est en train de lire Le Monde avec ce compte sur un autre appareil.

    Vous ne pouvez lire Le Monde que sur un seul appareil à la fois (ordinateur, téléphone ou tablette).

  • Comment ne plus voir ce message ?

    En cliquant sur «  » et en vous assurant que vous êtes la seule personne à consulter Le Monde avec ce compte.

  • Que se passera-t-il si vous continuez à lire ici ?

    Ce message s’affichera sur l’autre appareil. Ce dernier restera connecté avec ce compte.

  • Y a-t-il d’autres limites ?

    Non. Vous pouvez vous connecter avec votre compte sur autant d’appareils que vous le souhaitez, mais en les utilisant à des moments différents.

  • Vous ignorez qui est l’autre personne ?

    Nous vous conseillons de modifier votre mot de passe.

Lecture restreinte

Votre abonnement n’autorise pas la lecture de cet article

Pour plus d’informations, merci de contacter notre service commercial.