Par peur ou par prudence, les hommes ont souscrit une assurance depuis l’époque des Babyloniens, sans doute, pour faire d’une pierre deux coups ou tout simplement pour ne pas prendre de risques. Quoi qu’il en soit, des traits de caractéristiques de l’assurance furent déjà présents en Mésopotamie, en Égypte et dans la Rome Antique. Elle a commencé par l’assurance maritime au XIIème siècle car l’assurance vie, plus moderne n’a été créée qu’au XVIIème siècle et l’assurance incendie, au XIXème siècle.
Elle a été utilisée à l’époque comme une recherche de protection ou un secours mutuel. Le code des assurances fut finalement créé par le décret du 16 juillet 1976. L’assurance, un accord signé entre un assureur et un assuré, est un contrat qui garantit à ce dernier le paiement d’une certaine somme en cas de réalisation de risques déterminés en contrepartie d’une certaine cotisation dont il devra s’acquitter. Elle est habituellement contractée lorsqu’une personne prévoit ou souhaite prévenir un événement accidentel afin de mieux s’y préparer et de faire face si jamais le pire se produit. Elle a pour objet de protéger la personne assurée contre les accidents et concerne également le souscripteur et le bénéficiaire désigné par l’assuré lui-même, à part les deux acteurs sus-cités. Il y a en France, plusieurs types de contrats d’assurance qui sont généralement regroupés en deux parties : l’assurance des personnes et l’assurance des dommages. La première concerne ainsi la personne assurée et peut être contractée sous certaines formes. Dans cette catégorie se trouve l’assurance vie. Cette dernière est donnée sous forme de capitalisation qui sera transformée en rente à une date définie.
L’assuré devra verser régulièrement une prime avant cette date d’échéance. C’est donc un contrat qui a pour but de constituer un capital ou une retraite pour l’assuré par le biais de versements libres ou périodiques de ce dernier. En contrepartie de ces versements, l’assureur s’engage à payer la rente aux bénéficiaires désignés, en cas de décès ou sur ordre de l’assuré. L’avantage que le bénéficiaire tirera de cette action c’est qu’il se constituera une somme d’un montant assez conséquent à la retraite, qui sera une sorte d’assurance pour le bon déroulement de sa vieillesse.
L’assurance décès fait également partie de l’assurance des personnes et consiste en un contrat dans lequel l’assureur s’engage à payer au bénéficiaire nommé par ce dernier, un capital déterminé et ce, lors du décès de l’assuré, moyennant évidemment le paiement d’une prime unique ou périodique. Cette assurance peut couvrir une vie entière et garantit ainsi le paiement de la somme à la mort de l’assuré quelle que soit la date, mais elle peut aussi bien être d’une durée temporaire. Ce type d’assurance garantit le paiement du capital avant même la date fixée par l’assuré lui-même dans le contrat. Cette date passée, l’assurance peut être considérée comme annulée. Il n’est pas très conseillé de choisir cette option car on n’est pas toujours sûr de la date de sa mort. L’assurance maladie couvre la personne assurée en cas de risque de maladie, de maternité et de décès. L’assurance garantit à l’assuré le remboursement de ses frais médicaux moyennant comme d’habitude un versement, ainsi que le remplacement du salaire si jamais il y a obligation d’arrêt de travail provoqué par son état de santé. D’un autre côté, il y a l’assurance des dommages également appelée assurance accident.
Ce type de contrat permet au client de bénéficier d’une indemnité pour réparer un dégât dû à un événement inattendu et impromptu. Il regroupe l’assurance de prévoyance qui peut couvrir les risques d’accident corporel ou d’invalidité et permet même de former une rente pour l’éducation des enfants. A part la sécurité sociale qui est une assurance maladie obligatoire, on peut également trouver l’assurance maladie complémentaire dans la prévoyance. L’assurance des dommages couvre parallèlement toutes sortes de biens et il est possible de souscrire une assurance pour un bien d’une valeur particulière car elle garantit de manière exhaustive le remboursement des frais occasionnés par la réparation des biens assurés détruits par un accident. Elle peut aussi couvrir un immeuble et son contenu tout comme elle peut couvrir une voiture. Dans ce dernier cas d’ailleurs, il est bon de savoir que depuis 1958, il est obligatoire d’assurer tout véhicule doté d’un moteur, immatriculé ou pas et pouvant transporter des personnes.